J’ai inculqué ces valeurs à mes enfants.Quand je lis cette poésie je sens beaucoup d’émotions en moi qui essayent de s’exprimer. S’il vous plait, pouvez-vous m’aider pour cette question ?Réponse à Cépamoi.

Pour renforcer la Fable de la Fontaine, je pourrais dire en d’autres termes: Aide-toi et le Ciel t’aidera, soutiens-toi et le ciel te soutiendra, appuie-toi et le ciel t’appuiera, donne-toi et le ciel te donnera.

Beau souvenir! Rien n’est facile dans la vie. Alors que le trésor c’était le labour « le travail de la terre ». Paroles Musique c'est le meilleur de la musique en parole de chanson : plus de 7 millions de …

Ils sont légions, « Un songe »  » Le corbeau et le renard » « La cigale et la fourmie » et j’en passe. Voilà pourquoi « Travaillez, prenez de la peine » est à la fois un encouragement et un rappel qu’il suffit de s’y lancer, avec les moyens de bord, avec persévérance et abnégation. travaillez heee!!!! Bel épôque! Pour moi la route allait être longue et difficile. Plus personne ne parle de cette manière… et de nombreux français seraient bien incapables de donner le sens de ces vers.Vous maniez le français très correctement, je vous félicite. Amitiés inondées de lumières, conseils et orientations de mes sages parents et instituteurs de l’ École Primaire de Mwana-Muyombo, Paroisse de Kingunda, de la contrée de Kingete, zone de Kasongo-Lunda, située dans la région de Bandundu. J’ai bien envie de le lire à mon petit fils de 15 ans, lui qui n’est pas motivé en classe, pas concentré, pas persévérant pour deux sous. La Republique Centrafricaine te dit merci à la Fontaine.

Mille merci…Superbe texte indémodable. Monsieur Bernouci nous enseignait les matières en Français, durant toute l’année scolaire il ne s’est jamais adressé à nous en une autre langue que le Français, on croyait qu’il ne parlait notre langue maternelle. Ya Ngolozaku Nsindu, Tsibante Corneil… En effet, les enseignements reçus de tous ces sages hommes et femmes sous un soleil brilliant de la Sagesse, de l’ Intelligence et de la Prudence ont fait de moi d’ une personne honête, sage et disciplinée grâce aux lectures, recitations théâtrales de Jean de La Fontaine, Antoine de Saint-Exipéry, Emile Zola, les récits de Tam Tam Afrique, etc.

Le père dit qu’il y a un trésor caché (pourquoi ne l’a t-il jamais sorti d’ailleurs ?). Transcende le temps et l’espaceCela me rappelle toujours les classes primaires. Quand nous apprenions ce poème et tant d’autres nous étions tout petit et aujourd’hui en tant qu’instituteur c’est le seul poème qui me reste en mémoire. La morale de ce poème est de considérer le travail comme une vertu, un héritage comme une valeur digne de notre respect qui mérite toute notre attention. Comment pourrais-je oublie les enseignements sévères de mes instituteurs comme Mr Jean Kasongo, Médard, ya Moni Dorethée.. C’est vraiment un bon poème.Rien de plus émouvant et de plus motivant que de lire ces fameux versUn poème qui est plein de signification ça me rappel de l’école primaire, je remercie l’auteur qui a laissé un héritage pour l’humanité.Un poème émouvant et constructeur des valeurs des grands hommes. C’est resté en moi jusqu’au aujourd’hui. Je suis très ému par la plume de ce grand Mr de la littérature française. Merci quand même, La FontaineMerci à tous ceux qui ont aimé ce poème. C’était trop cool, j’aime toujours.Ce poème est génial! Allons la classe est terminee, la tache est faite on est joyeux, reprenons nos chants et nos jeux, satisfaits de noter journee, tres calmement, marchons au pas comme des soldats. C’est magnifique comme héritage de ce père qui a vu sa mort venir, puis à laisser derrière lui, ses enfants et aussi un trésor aux reste du monde du travail. Je vais jamais oublier ma grande mère qui m’a fait connaître cette Fable.Devant la paresse de ma fille, j’ai dû « internauter » pour lui rappeler par cette fable l’importance du travail.Le travail, c’est la liberte.

Oui le travail est un trésor vraiment.Bonjour à ceux qui lisent ce commentaire simple et qui me rappelle mon enfance, c’est à dire, l’âge de cinq ans, c’était ma première année à l’école primaire de Zadezas, et ce en 1960. La Vie nous pousse aujourd’hui à faire les choses facilement, plus à l’aise quand on compare avec les siècles passés. Rien n’est plus bon que la poésie.Tous ces derniers jours je pense à cette fable et je l’ai relue pour me souvenir de tous les vers. A l’ecole, les fables de Jean de la Fontaine nous instillaient le gout du travail et nous servaient comme une source d’inspiration.Moi j’ai appris ce poéme à 11 ans et je suis passée devant ma maitresse et j’ai eu une exellente note, mais elle est très dure.Je l’ai lu quand je faisais la classe de CE2. Il faut travailler, se battre pour arriver au sommet.

prenez de la peine c'est le fond qui marque le moin na beta libanga po te na zoua mosolo na motoki na yoohh nde na zouiiiiiihhh lifouta Maintenant en Colombie où je me vis il y a belle lurette, les chansons, les poèmes, les morceaux de pièces théâtrales, Les Choristes,… sont toujours présents dans les salons de classe de Uniminuto où je donne cours il y a plus de cinq…Oui le beau poème, la belle leçon retenue, la morale tirée des conseils du père et surtout nos maîtres de l’époque qui nous choisissent ces poèmes qui ont leur pesés en or dans la langue Française. *Classe de Première A, véritable rentre avec le recueil complet des Fables dans mon petit Lycée à l’ouest de la Côte d’Ivoire. Je suis une étudiante du français comme langue étangère. Seul le travail libère.Plaisir de le relire, je l’ai appris en CM1.

Cela me rappelle mes premiers pas d’écolier.