L’homme et la femme s’aimeront en Dieu, qui leur donnera part dans l’Esprit à la fécondité de son amour divin. D’octobre 2015 à octobre 2016, des êtres chers m’ont quitté, et autour … Évangile du 32e dimanche du temps ordinaire (année C), selon le récit de Luc (20, 27-38) 27 S’approchent certains membres des Sadducéens qui contestent qu’il y ait une résurrection 28 et ils interrogent [Jésus] en disant: Maître, Moïse a écrit ceci … Saisissez votre adresse pour vous abonner et recevoir une notification de chaque nouvel article par courriel.Saisissez votre adresse pour vous abonner et recevoir une notification de chaque nouvel article par courriel. Les raisons de cette pratique étaient avant tout économiques et sociales : il s’agissait de trouver un héritier qui puisse porter la responsabilité du patrimoine familial laissé par le défunt.La réponse de Jésus souligne l’étroitesse de vue de ses interlocuteurs qui imaginent l’au-delà sur un mode trop terrestre, ils réduisent la vie éternelle à un simple prolongement de la vie terrestre. Luc 20.38. Luc 20:39 Quelques-uns des scribes, prenant la parole, dirent: Maître, tu as bien parlé. Les sadducéens méconnaissent également la puissance de Dieu, puisqu’ils ne semblent pas croire que Dieu peut réaliser une telle œuvre.La leçon vaut aussi pour nous et nous interroge sur la manière dont nous lisons la Parole : l’interprétons-nous sur l’horizon de nos conceptions humaines de la vie et de la mort, ou nous laissons-nous « guider vers la vérité tout entière » (Jn 16, 13) par l’Esprit saint qui nous interprète les Écritures ? C’est pourquoi tous les pauvres, quelle que soit leur pauvreté, pourront participer à l’amour de Dieu.En ressuscitant Jésus d’entre les morts, Dieu notre père nous adresse donc ce message, d’une part, la vie a un sens, vos efforts pour trouver le lieu où vous serez aimés seront récompensés, et vous trouverez le repos. Par contre les pharisiens, que nous connaissons mieux, suivis en cela par la majorité des juifs, enseignaient la foi en la résurrection.
L’objet de notre espérance n’est pas une simple survie, mais une action divine déconcertante, apparentée à une nouvelle création, qui réalisera pour nous « ce que personne n’avait vu de ses yeux, ni entendu de ses oreilles, ce que le cœur de l’homme n’avait pas imaginé, ce qui avait été préparé pour ceux qui aiment Dieu » (1 Co 2, 9). AMENRévolution et persécutions religieuses (18è-19è siècles)Dernière mise à jour du site : lundi 27 juillet 2020 Luc 20,27-38, play Quelques-uns des sadducéens qui disent qu'il n'y a pas de résurrection s'approchèrent et posèrent à Jésus cette question Maître voici ce que Moïse nous a prescrit Si un homme marié meurt sans avoir d'enfants son frère épousera la veuve et donnera une descendance à son frère Or il y Cette résurrection est le cœur de la foi chrétienne, car la résurrection de Jésus est le fondement de notre espérance face à la réalité universelle de la mort. L’amour sera même plus brûlant que jamais en leur cœur, selon le dessein originel du Créateur. La foi en notre participation à la résurrection du Christ se fonde sur sa Parole, confirmée par le Père et attestée par l’Esprit. Pour marcher au bras du Dieu des vivants N’étant pas un savant des Évangiles, je ne m’aventurerai pas sur la question des maris et des épouses … Évangile du 32e dimanche du temps ordinaire (année C), selon le récit de Luc (20, 27-38) 27 S’approchent certains membres des Sadducéens qui contestent qu’il y ait une résurrection 28 et ils interrogent [Jésus] en disant: Maître, Moïse a écrit ceci … Mon grain de sel, sur l’Évangile du dimanche 6 novembre 2016 par Mario Bard. Quand paraîtra le Christ notre vie, alors nous aussi, nous paraîtrons avec lui en pleine gloire » (Col 3, 1-4).Croire en la résurrection, ce n’est pas seulement parler de l’au-delà, c’est aussi donné du sens à la vie terrestre, car c’est dire l’importance, la valeur de chaque personne humaine en comparaison avec la réincarnation. Évangile du 32e dimanche du temps ordinaire (année C), selon le récit de Luc (20, 27-38) 27 S’approchent certains membres des Sadducéens qui contestent qu’il y ait une résurrection 28 et ils interrogent [Jésus] en disant: Maître, Moïse a écrit ceci … Cette réalité de la fin de notre vie terrestre a été au cours des âges le point de départ de nombreuses réflexions philosophiques et religieuses. L’unicité de la vie humaine dit clairement son sérieux, son importance. ; Luc 6, 27-38 L’amour des ennemis Dans son Discours sur la Montagne, aussitôt après les Béatitudes Jésus nous livre tout un enseignement sur l’amour-charité, et spécialement sur l’amour des ennemis : ennemis personnels ou ennemis du groupe auquel on appartient. Jésus est donc sollicité pour prendre position au cœur d’un débat assez passionné, comme nous pouvons nous en rendre compte au chapitre XXIII du livre des Actes des apôtres, où Saint Paul tire astucieusement profit de cet antagonisme pour se soustraire à ses accusateurs.
Certes, l’homme sera toujours masculin jusque dans son corps glorieux, et la femme sera toujours son vis-à-vis complémentaire qui suscitera son émerveillement comme au matin de la Genèse (Gn 2, 23). L'évangéliste Luc, avec le récit de cette polémique provoquée par les sadducéens, aborde la question centrale de la résurrection. Chaque personne pourra participer à l’amour éternel de Dieu, et ainsi réaliser sa capacité d’aimer et d’être aimé, avec tout son être, corps, âme et esprit.
Forts de cette promesse, « tendons vers les réalités d’en haut, et non pas vers celles de la terre.