Mais là, c’est n’importe quoi !Nous l’avions compris, cette parabole n’est pas destinée à être utilisée dans un stage de management. Il s’entend avec eux sur le salaire de la journée : il leur donnera un denier. En effet, Jésus s'adresse d’abord aux juifs. Un denier, cela permettait à une famille de quatre personnes de vivre pendant une journée. 20.4 - Chapitre 19 v. 27-30 — Récompense des douze. They don't deserve the same as we get, do they? Mais non, ce n’est pas ça. While "covet" may not seem the most obvious word to describe what is going on here, it does fit both the emphasis of Jesus' teaching and the overarching emphasis in Matthew on the Law and Jesus' representation of it in a way that transforms our thinking and doing. Le propriétaire ne montre pas une générosité particulière. Notre monde ne comprend pas bien la gratuité. 21.1 - Chapitre 20 v. 1-16 — L’ouvrier de la onzième heure. Aujourd’hui, ces ouvriers pointeraient à Pôle emploi, mais à l’époque, ils se réunissaient chaque matin sur la place de la ville, dans l’espoir d’être embauchés. Comme ces ouvriers de la onzième heure, venons à Dieu sans attendre un salaire, mais simplement parce que nous savons qu’il est digne de confiance, qu’il tient sa parole. Or are you envious because I am generous?" Dans notre monde, la justice veut que chacun reçoive en proportion de ce qu’il a fait, dans une relation de donnant-donnant. Celle-ci est en dehors de l’expérience naturelle de l’homme, et ils ne comprennent pas. Ces ouvriers de la onzième heure, qui viennent après, ce sont tous ceux qui ont cru en Jésus-Christ, juifs et non-juifs, dans ces temps de la fin. Not We have a tendency, as the parable aptly illustrates, to covet and to be resentful of what others receive from God. The point here isn't necessarily that other folks receive blessings from God that we don't -- that they get more or better or lovelier gifts from God. If you are anything like me you could re-read this parable a couple of times come up with a slightly different angle on it, depending on the word or phrase you use to summarize the story. So, to answer my own question:First, the parable of the laborers in the vineyard is about the 9th (and 10th) commandment. Alors cela vaut la peine de leur accorder toute notre attention. In a very real sense this parable is about coveting. Notice the flow of the narrative as the workers are compensated for their labors: When evening came, the owner of the vineyard said to his manager, "Call the laborers and give them their pay, beginning with the last and then going to the first. The point is that God's grace, mercy, and forgiveness are God's to give away as God sees fit.The parable of the laborers in the vineyard is about coveting, about our frustration with the grace of God as it applies not to us, but to others.Second, the parable of the laborers in the vineyard is about the first and the last. Matthew 20:1-1Image © by John August Swanson. Jésus nous parle du Royaume de Dieu.Alors oui, nous sommes tous ces ouvriers de la onzième heure, que nous ayons grandi dans l’Eglise dès notre plus jeune âge, ou que nous ayons rejoint l’Eglise à l’âge mûr. Imperceptiblement, la relation de travail devient complètement différente de celle du début : pour les ouvriers de la onzième heure, non seulement il n’y aura plus de contrat, mais le propriétaire ne leur promettra même rien du tout. And when they received it, they grumbled against the landowner, saying, 'These last worked only one hour, and you have made them equal to us who have borne the burden of the day and the scorching heat. And the first, who have labored longest, must also wait the longest to get theirs. Artwork held in the Luther Seminary Fine Arts Collection, St. Paul, Minn.Take a little memory trip with me, and think back to your childhood. The owner of the vineyard asks those who have worked longest and (presumably) hardest for him, "Am I not allowed to do what I choose with what belongs to me? N’oublions pas que les temps de la fin, pour les textes du Nouveau Testament, ont commencé avec la résurrection de Jésus-Christ.Ces ouvriers de la onzième heure, c’est donc aussi nous, qui avons reconnu Jésus-Christ. L’incident qui termine ce chapitre montre que Pierre ne considérait son Maître que comme un bon Juif, qui payait tout ce qu’Il devait, et qu’il tenait à ce que tous les autres … Commentaire simple; Matthieu; Des quatre évangiles, celui de Matthieu est le plus complet et donne la meilleure vue d'ensemble sur la vie et la mort du Seigneur. Les ouvriers de la onzième heure : une parabole qui ne figure que dans l’Evangile de Matthieu, et pourtant elle a marqué les esprits, au point de devenir une expression. Il semble tout à fait soucieux de son argent pour en tirer profit.Et puis il se passe quelque chose, quelque chose d’un peu bizarre, quelque chose qui pourrait passer inaperçu : trois heures plus tard, c’est-à-dire vers 9 h du matin, notre viticulteur va chercher d’autres ouvriers. Dans cette perspective, la grâce de Dieu peut nous paraître injuste, parce qu’elle ne se fonde pas sur notre propre conception de la justice. C’est du Royaume de Dieu qu’elle veut nous parler. Un certain flou commence à s’installer. Nous sommes tous dépendants de la seule grâce de Dieu.Matthieu 20, 1-16 - Les ouvriers de la onzième heure Rolf Jacobson, Karoline Lewis, David Lose, and Matt Skinner for a conversation around preaching the lectionary texts for Pentecost 14: Exodus 16:2-15, Jonah 3:10-4:11, Psalm 145:1-8 (8), Philippians 1:21-30, When the first came, they thought they would receive more; but each of them also received the usual daily wage. 16 Et Simon Pierre, répondant, dit : « Toi, tu es le Christ, le Fils du Dieu vivant. Who is worthy to climb the holy hill, and enter the gate of God's kingdom?