Depuis près de sept ans, les familles de victimes se battent pour que justice soit faite. Laccident ferroviaire de Brétigny-sur-Orge est un déraillement survenu le 12 juillet 2013 en gare de Brétigny, sur le territoire de la commune de Brétigny-sur-Orge (Essonne), à 31 km au sud de Paris.

Fin de l’enquête. Un cadre de la SNCF a été mis en examen mercredi 9 janvier pour homicides et blessures involontaires dans le cadre de l'enquête sur l'accident de Brétigny-sur-Orge, dans l'Essonne. Wagons enchevêtrés le 12 juillet 2013 à Bretigny-sur-Orge. Tous deux sont renvoyés devant le tribunal correctionnel pour homicides et blessures involontaires. Les magistrats estiment également que des « organes ou représentants » de l'entreprise ont été « défaillants dans l'organisation, le contrôle et la réalisation des opérations de maintenance », selon le communiqué du parquet.Concernant le cheminot, les juges considèrent qu'il a exposé les voyageurs « à un risque d'une particulière gravité ». Il semblerait que l'ultra gauche se passionne très peu pour ce dossier, où il est pourtantun peu question de sécurité. C'est la mise sur écoute des cadres par le juge qui avait révélé que l'équipe du secteur ne fichait rien. Déraillement d'un train en gare de Brétigny-sur-Orge (Essonne). Accident de Brétigny : la justice accorde une nouvelle expertise à la SNCF. Lire aussi Accident de Brétigny-sur-Orge : des documents internes mettent en cause la SNCF. « La tenue du procès est envisagée au courant de l'année 2021 », a précisé le parquet dans un communiqué.Les magistrats instructeurs, qui ont suivi les réquisitions du parquet, pointent des « fautes » commises par SNCF Mobilités et SNCF Réseau (qui a succédé à Réseau ferré de Les cinq années et demie d'enquête, terminée en janvier 2019, avaient donné lieu à une bataille d'expertises et de contre-expertises, avec un enjeu : déterminer si le déraillement était prévisible. Publié le 10 janvier 2019 à 11h45 Mis à jour le 10 janvier 2019 à 11h51. Le point avait publié cette info il y a plusieurs années.
Depuis quand la droite soutient elle les lanceurs d'alerte ? Il avait auparavant été placé sous le statut intermédiaire de témoin assisté, comme deux membres de son équipe.C’est lui qui avait personnellement réalisé la dernière inspection de cette portion de voies huit jours avant le drame, inspection au cours de laquelle il n’avait rien remarqué d’anormal, avait-il dit aux enquêteurs.Son avocat, Philippe Valent, avait critiqué la semaine dernière une mise en examen sans « aucun élément nouveau », quatre ans après sa dernière audition devant les juges.Dans une affaire « aussi complexe », il a aussi fortement regretté jeudi le très court délai entre la mise en examen de son client et la clôture de l’enquête, « une rare déloyauté » de la part des magistrats, selon lui. La SNCF, qui a mandaté d'autres expertises de son côté, estime que l'assemblage incriminé a cédé brutalement à cause d'un défaut de l'acier – une hypothèse qui la dédouanerait. Brétigny-sur-Orge : après l'accident, les agents s'inquiètent encore 07h19, le 09 février 2016 , modifié à 10h48, le 09 février 2016 A Accident de Brétigny : un employé de la SNCF mis en examen C'est la première fois qu'une personne physique est poursuivie dans ce dossier. Veuillez remplir tous les champs obligatoires avant de soumettre votre commentaireVous devez renseigner un pseudo avant de pouvoir commenter un article.un brouillon est déjà présent dans votre espace commentaire.Veuillez saisir l'adresse mail qui a servi à créer votre compte LePoint.frVous ne pouvez plus réagir aux articles suite à la soumission de contributions ne répondant pas à la charte de modération du Point.Vous ne pouvez plus réagir aux articles suite à la soumission de contributions ne répondant pas à la charte de modération du Point.Vous êtes abonné au magazine dans sa version papier ? Sollicité par l' Par L'Obs avec AFP. "ce sont des crevards... ". Les juges d’instruction chargés de l’enquête sur Après cinq ans d’enquête, l’affaire a connu un rebondissement inattendu la semaine dernière avec la mise en examen d’une première personne physique – un cadre de la SNCF – pour homicides et blessures involontaires.Au cours de l’enquête, toutes les expertises ordonnées par la justice ont conclu que ce train Intercités avait déraillé à cause d’un morceau de voie mal entretenu qui s’est désagrégé au fil du temps, alors que la SNCF estime de son côté que l’assemblage incriminé a cédé brutalement et que l’accident était donc imprévisible.Le cadre de la SNCF mis en examen mercredi dernier était à la tête de l’équipe chargée de l’inspection des voies au moment du déraillement, en juillet 2013. Ce cheminot de 31 ans était à la tête d'une brigade chargée de l'inspection des voies au moment du déraillement. C'est lui qui avait réalisé la dernière vérification, huit jours avant la catastrophe. À la suite de la défaillance d'une éclisse (pièce métallique servant à raccorder entre eux deux rails consécutifs), plusieurs voitures d'un train de voyageurs Intercités reliant Paris-Austerlitz à Limoges-Bénédictins ont déraillé, entraînant la mort … ((EPA/MAXPPP)) — - AFP Fin de l’enquête. Les juges d'instruction chargés de l'enquête sur la catastrophe ferroviaire de Brétigny-sur-Orge en Essonne, qui a fait 7 morts et des dizaines de blessés en juillet 2013, ont ordonné un procès contre la Tous deux sont renvoyés devant le tribunal correctionnel pour homicides et blessures involontaires.

Toutes celles ordonnées par la justice ont conclu que le train avait déraillé à cause d'un morceau de voie mal entretenu, qui s'était désagrégé au fil du temps. Vendredi, elles ont obtenu une victoire.