Depuis Bourg-Saint-Maurice (flanc nord), la montée fait 48,8 km à 4,1% de moyenne. et est-ce que cela vaut le coup ?pour moi tout dépend aussi des conditions climatiques.Pendant la Marmotte j'ai souffert énormément dans le Télégraphe (+de 30°) sur 12 km que dans les 17 km du Galibier avec une tempértaure de qqs degrés au sommet et de la neige sur le bord de la route. Je garde alors à peu près la même cadence de pédalage et l'intensité d'effort reste la même.À moins que des changements de pourcentages brusques se produisent tous les dix ou vingt mètres, là ça peut devenir fastidieux.
Mais il possède seulement 4 lacets donc les lignes droites sont terriblement longues...pour grosses cuisses et mental d'acier.Pour avoir fait les deux faces (en 39/25 et 34/27) je trouve la montée côté Yenne peut-être encore plus éprouvante si on joue le jeux dès le pied du col. En effet le col fait alors plus de 17 km avec les 7 derniers km entre 11 et 12 % de moyenne !!! Quitte à descendre très bas dans les braquets, ce que je n'hésite jamais à faire.Reste le fait que la dépense d'énergie y est constante, car on est toujours en prise et jamais en roue libre, sauf s'il y a des replats.À ce compte, si les braquets sont adaptés, un col serait d'autant plus difficile qu'il est long, suffisamment pentu pour qu'on soit toujours vraiment en prise et qu'il a moins de portions de récupération.Pour ma part, celui qui m'a paru le plus dur, c'est le col du Glandon versant nord. C'est donc facile de prendre un rythme     et de le garder   (suffit juste d'avoir les bons braqués) .Je n'ai jamais trouvé   les cols comme le Galibier   ou l'Izeran difficiles . Je reviens aussi pour les fêtes de Noël, mais sans vélo.
La difficulté de ce col long d’environ 17 kilomètres pour un côté et 13 de l’autre, réside surtout dans les 4 derniers kilomètres où la pente repasse fréquemment au dessus de 20/21% sur plusieurs centaines de mètres.Ces cols sont considérés comme les plus difficiles du monde, au cycliste de s’en faire une idée et d’aller « les essayer »… Ce col culmine à 1570m d’altitude mais est redoutable pour le cycliste. Mais à part le plan Lachat et le dernier kilomètre (mais qui ne compte pas car tu vois l'arrivée) il suffit aussi de gérer.Et le granier par Chapareillan est assez dur également et dans le même coin le col du coq a aussi des pourcentages qui font mal (coté ouest).Pour moi un col difficile c'est un col   avec des pourcentages   irreguliers et   importants. Je pense tout de même qu'il est plus dur, je peux monter le ventoux à l'économie sans pbm mais le mont du chat je n'y suis jamais arrivé sans en baver...J'espère au moins vous donner l'envie d'y aller vous faire votre opinion. Le premier qui me dit que le vélo électrique, c’est de la triche, je lui crève les pneus de son « biclou ». Il y a biensur ceux que l'on connait grace au Tour mais peut etre que vous en avez d'autres moins connus ?Je viens de gravir mon 1er grand col , le Mont Ventoux , et je cherche maintenant à savoir quels sont les cols les plus difficiles de France pour aller les grimper !Alors quels sont pour vous les plus difficles ? dans le pays basques bagargui m'a paru impossible mais j'avais la roue qui frottait contre le hauban après c'est con à dire mais le ressenti est très lié à la forme du moment. C'est donc facile de prendre un rythme     et de le garder   (suffit juste d'avoir les bons braqués) .Je n'ai jamais trouvé   les cols comme le Galibier   ou l'Izeran difficiles . C'est   pourtant un col court 9,5 km   pour 840 m  de D+.Je trouve en comparaison le relais du Chat  (prés du lac du Bourget )    plus   facile car la pente ,   bien qu'élevé est vraiment réguliere? Bien évidemment je ne peut pas vous donner un classement des cols en fonction de la difficulté de celui-ci car la difficulté d’un col est toute relative en fonction des conditions physiques, météorologiques, de l’état de la route, etc… Cependant je peux donner les noms des cols qui font partis des plus belles difficultés en matière d’ascension cycliste.

Ce versant se compose notamment de 6 kilomètres successifs à plus de 15% de moyenne avec de fréquents passages au-dessus de 20%.– le Plan de Corones se situant dans les Alpes italiennes (les Dolomites) et culminant à 2275m d’altitude. Pour ceux que je connais   (  j'habite en Isére ) ,    je trouve la col du Granier   (coté chapareillan )  comme  le plus difficile      car la   pente change souvent    (entre   6%   et 16%)    pour une pente moyenne de presque  9% . Vous parcourrez de nombreuses ascensions emblématiques du Tour de France telles que le col du Soulor, le col d’Aubisque, le col de Marie-Blanque, le col de La Pierre-St-Martin, la montée de Luz-Ardiden, le col du Tourmalet (sur son autre versant) et le col du Portet (le nouveau Géant des Pyrénées). Un classique souvent emprunté par le Tour de France.