David Foenkinos est né à Paris en 1974. Il en avait toujours été ainsi. La première partie était en accord avec le résumé à l’arrière du livre : le mystère est posé, pourquoi Antoine a tout quitté pour devenir gardien de musée. Je m’étais donc retenue de le prendre malgré le résumé très tentant ! On y trouvait par exemple une sorte de mur beige intitulé La Joconde sans la Joconde. Puis on passe à une partie totalement différente mais quand même en lien avec ce mystère. Le plus saisissant était ce tourbillon de couleurs censé figurer Le cri de Munch mais sans le fantôme hurlant. Vers la beauté, on assiste à l'appel au secours de deux anges perdus. - Quoi ? On parle bien d’art-thérapie, de créer pour exprimer son malaise, pour se comprendre à travers les intuitions de l’inspiration. Quand il se sentait mal, il allait se promener dans un musée.

(p. 30) Pour Antoine, la contemplation de la beauté était un pansement sur la laideur. C'est éblouissant, pur, pudique, incandescent. Pourtant, c'est bien ce que je me décide à faire alors que je me suis précipitée sur le dernier opus de Antoine et Camille murmurent à l'oreille de la beauté, fragiles et intenses. Le merveilleux demeurait la meilleure arme contre la fragilité. Rejoignez Babelio pour découvrir vos prochaines lectures Deux êtres cabossés par la vie tentent de trouver une consolation dans l'art.

Peut-on se soigner en se confiant à un tableau ? "Continuez à lire !" Il devait trouver une façon d'aborder les relations humaines sous un angle différent. Mais cette partie se lit plus vite et elle touche beaucoup, elle … Vous aimez ce livre ? (Nos séparations, Le potentiel érotique de ma femme, La délicatesse). Jeanne [Heurtebise] lui faisait survoler les heures. Dans son nouveau roman, « Vers la beauté », un prof à l'âme meurtrie se fait gardien de musée. Il lit alors énormément et joue de la guitare. Il étudie les lettres à la Sorbonne, devient professeur de guitare. Vers la beauté: Auteur David Foenkinos: Pays France: Genre Roman: Version originale; Langue Français: Titre Vers la beauté: Éditeur éditions Gallimard: Collection NRF Lieu de parution Paris: Date de parution 2018: Nombre de pages 224 ISBN: 978-2-07-278-487-3 Vers la beauté est un roman français de David Foenkinos publié aux éditions Gallimard (NRF) en 2018. C'est une lecture que j'ai entamée hier et je me suis dis, qu'étant donné qu'il s'agissait d'un livre que l'on m'avait prêté, il ne faudrait pas que je mette trop longtemps pour le lire. Et cette partie est très prenante. (...) Quand il se sentait mal, il allait se promener dans un musée. Dieser Frage geht der französische Schriftsteller und Drehbuchautor David Foenkinos in seinem neuen Roman „Vers la beauté“ nach, der auf Platz 6 des Belletristik-Rankings einsteigt. A l’âge de 16 ans il est atteint d’une maladie de la plèvre et se fait hospitaliser deux mois. Puis on passe à une partie totalement différente mais quand même en lien avec ce mystère. Enfin je me suis retenue peu de temps puisque je l’ai pris à Saint Maur en poche Si j’ai été attirée par ce livre, c’est tout d’abord car j’ai aimé la couverture et que c’était un livre de David Foenkinos (et après Au final, ce livre a été radicalement différent de ce que je pensais ! En d'autres termes, vivre en couple l'avait plongé dans une sorte de mécanique sociale, et il devait maintenant tout réorganiser. Ou encore un bar américain vide qui représentant une célèbre toile de Hopper sans ses protagonistes. On parle bien d'art-thérapie (...) Pour Antoine, la contemplation de la beauté était un pansement sur la laideur. Antoine est un brillant professeur aux Beaux-Arts. Il continuait parfois à lui parler, comme à une confidente. Dans cet opus, où se mêlent suspense et délicatesse, l’auteur renoue avec ce que l’on peut appeler une …

La beauté.

Babelio vous suggère Globalement ce livre se lit très vite (une journée, pour ma part). David Foenkinos nous revient avec un 14e roman dans lequel l’art figure encore au premier plan. Mais cette partie se lit plus vite et elle touche beaucoup, elle provoque beaucoup d’émotions. La beauté ensorcelle, nous attrape dans les couleurs de ce sublime dyptique.   Cependant, je ne m'imaginais pas le terminer aussi rapidement, d'autant plus qu'au départ, j'étais un peu hésitante, ne sachant pas trop comment faire : le lire, ne pas le lire ? Même si l’histoire dérange et nous secoue, même si c’est triste.

In romantische Schwelgereien mischen sich urplötzlich böse und recht desillusionierende Töne, in denen das menschliche Liebesstreben als lächerlich erscheint. Die Art des Philosophierens über die Liebe, das beherrschende Thema in Foenkinos’ Romanen, ist erkennbar inspiriert von Albert Cohens Die Schöne des Herrn, das Buch, das Foenkinos in nahezu all seinen Romanen erwähnt.