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Non lui ai-je répondu, à regret. Suivre son activité
Que nenni !!!! Ah ! Mais ce film est avant tout une histoire de femmes, menée par des femmes. Mais parfois, il arrive qu'une perle rare ne passe pas inaperçue, au milieu de ce florilège de sorties cinématographiques pas toujours réjouissantes.
Tout le cinéma d'Emmanuel Mouret est contenu dans le titre de l'un de ses films : L'art d'aimer. Avec Film de Emmanuel Mouret avec Cécile de France, Edouard Baer, Alice Isaaz : toutes les infos essentielles, la critique Télérama, la bande annonce, les diffusions TV et les replay. Une vraie réussite.
Votre abonnement CANAL vous permet de bénéficier des contenus Télérama réservés aux abonnés.Ici, on aime l'esprit critique. Ex. De Personnellement j'ai pris ce film comme un coup de poing dans le ventre. Le vice, la vertu, la sincérité, l’honnêteté, la fourberie sont à travers ce plan machiavélique parfaitement secoués et mis à mal, et ce qu’il en ressort devient au demeurant une sacrée leçon ! : Suivre son activité N’est pas Glenn Close qui veut, la gentillesse affichée de Cécile de France cadre mal avec le visage odieux qu’elle affiche par la suite. Excellent à tous niveaux : réalisation, interprétation, décors... Rejoignez le site littéraire « De plume en plume » pour lire et commenter ses écrits. Alice Isaaz en Mademoiselle de Joncquières n’arrive en scène que tardivement et discrètement. Emmanuel Mouret adapte le classique de Diderot avec Cécile de France et Edouard Baer. Edouard Baer, d’abord volage et leger, atteint aussi un haut niveau de complexité.
Les meilleurs films de tous les temps selon les spectateursLes meilleurs films de tous les temps selon la presse Une très belle réussite ! Lire ses 2 027 critiques Cécile de France crève l’écran en Marquise de la Pommeray, justicière calculatrice et perfide des offenses faites aux femmes. Un cinéma, qui plus est, qui fait aimer notre langue. Lire ses 98 critiques Votre avis sur Mademoiselle de Joncquières ? 29 janvier 2019.
C'est le quarantième film d'Edourd Baer, le trentième de Cécile de France, le septième de Mouret : ils assurent. On oubliera pas des costumes et des images superbes. Madame de La Pommeraye, jeune veuve retirée du monde, cède à la cour du marquis des Arcis, libertin notoire.
Raison et ressentiment. J'avais envie qu'il me fasse plaisir avec sa voix si singulière et son talent étrange.
Cette vengeance échafaudée par Mme De Pommeraye a d’ailleurs des parfums d’actualité surprenants quand on songe au féminisme avant l’heure, auquel renvoie ce film finalement ! Ajoutez une Cecile de France au visage expressif suintant toute la palette des émotions humaines, et quelques seconds rôles bien trouvés. Lire ses 3 145 critiques Le film est tourné sobrement avec beaucoup de plans fixes et d'entrée comme au théâtre. Pascal Bourdiaux avec Une collègue m'a demandé si je l'avais vu.